Pandore

L'humour serait, parait-il, la politesse du désespoir... Pas beaucoup d'humour mais pas mal de désespoir, justement, dans ce texte qui date de mon année de terminale, et qui est sans doute ce que j'ai écrit de plus sombre. On y retrouve cependant certaines de mes obsessions: le pouvoir des livres, le lien que l'on peut tisser avec un personnage fictif, et l'interrogation sans cesse renouvelée sur l'étendue de notre libre-arbitre (et sinon, je me sens beaucoup mieux, merci 🙂 ) Téléchargement[wpdm_file id=18]
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