Vous connaissez peut-être le site les joies du code qui illustre au moyen d'images animées les petites et grandes péripéties qui jalonnent la vie du développeur informatique. L'autoédité n'a certes pas recours à énormément de stagiaires et n'est pas vraiment concerné par la quille du vendredi soir, mais il rencontre lui aussi quelques joies et quelques peines susceptibles d'être partagées en usant de cette méthode.
(Vous avez échappé au lipdub et au harlem-shake, ne me remerciez pas.)